mercredi 8 septembre 2010

En octobre, les chiens cesseront d’aboyer à minuit !


                                                         photo : ©Nikoleï Ken

Auteur de fantastique et de livres jeunesses, Michaël Moslonka rejoint la collection Riffle Noir pour avoir commis un polar plus mordant qu’une mâchoire de doberman.

Le titre de son méfait ? À minuit, les chiens cessent d’aboyer.

Les protagonistes ?
David Blacke. Il fut libraire dans sa jeunesse, il est désormais capitaine de police dans la ville minière d’Auchel. Le regard qu’il pose sur ses contemporains autant que sur lui-même est noir comme le charbon et plus acéré qu’une lame de couteau.
La lieutenante Amélie Laribi. Femme-flic intègre et rêveuse, elle œuvre pour que la paix règne dans la commune de son enfance.

L’action ?
Elle débute sur le parking d’un McDo où un pro-nazi d’opérette a été tué aux alentours de minuit. S’ensuivent des questions. Tout une benne de questions. Qui a assassiné le nazillon des bacs à sable ? Que signifient ces trois lettres, F.D.L., tatouées sur son torse en plus de la croix gammée ? Pourquoi lui a-t-on tranché la langue ? Que faisait Johnny Tajesky, un délinquant multirécidiviste appréhendé non loin des lieux du crime ?
Et surtout : combien de temps David Blacke supportera les aboiements de ces chiens qui infestent ses nuits ?
À ces questions, le flic répondra avec sa hargne et son mépris. Les seules réponses qu’il daignera y apporter ne seront que des paris pris avec lui-même. À ses sarcasmes, s’opposera Amélie Laribi. De son côté, la femme-flic n’aura de cesse que de chercher à innocenter Johnny Tarjesky alias « le coupable idéal » en retrouvant le vrai tueur.

Mais… peuvent-ils vraiment empêcher les chiens d’aboyer ?

Pour l’anecdote :
Le capitaine de police David Blacke a vécu une courte aventure durant le printemps 2008. C’était dans le n°8 du fanzine québécois Nocturne, le fanzine culte. La nouvelle s’intitulait Charmants voisins de palier. À cette époque, il rêvait de l’époque de la Prohibition et enquêtait dans l’immeuble « la Résidence des Jours Heureux » sur un acte antisémite.

Sortie prévue : À minuit, les chiens cessent d’aboyer est annoncé pour le début du mois d’octobre prochain. Sortie repoussée au 17 octobre en salon du livre (salon art d'automne USA à Wavrin) et chez votre libraire le 22 octobre.


À bientôt!

Riffle Noir


2 commentaires:

  1. et bien on guettera avec impatience la sortie, car la présentation m'a mis l'eau à la bouche !

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  2. Merci à vous Bruno! Octobre sera vite arrivé, à bientôt!

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