dimanche 30 janvier 2011

Prenez la Sortie Lens-Est et suivez la visite guidée

Sortie Lens-Est est un roman d'Eric Lefebvre.

Dans ce polar, Stanislas Kabbalevski, un jeune inspecteur de la PJ parisienne, revient en juillet 1992 pour des raisons familiales à Saint-Martin-sur-Deûle, le village de son enfance, dans la banlieue Est de Lens.  Mais son retour en pays natal est troublé par un meurtre et Kabbalevski va devoir enquêter dans une ville qu'il ne reconnaît plus.

Si Saint-Martin-sur-Deûle est une ville fictive du Pas de Calais, dans l'imagination narrative d'Eric Lefebvre, elle est un double de Vendin-le-Vieil et les décors de Sortie Lens-Est s'inspirent d'endroits réels comme le montrent les photos ci-dessous prises par l'auteur lui-même. 

Un plan complet a également été réalisé par Eric Lefebvre qui tient compte de tous les lieux de son roman. Vous le trouverez à la fin de cette visite guidée.

Bonne visite!
Riffle noir





Voici la friche industrielle de Vendin-le-Vieil avec les trois refrigérants hyperboliques de la centrale thermique. Ces cheminées servaient à refroidir la vapeur d'eau qui venait de la centrale. Dans Sortie Lens-Est, il y en a quatre et c'est avec eux que Kabbalevki commence son exploration de la Zone Industrielle.



Ici nous sommes toujours dans la friche avec le gazomètre volumétrique, après une première tentative pour le mettre à terre.


Le même gazomètre après qu'une deuxième équipe se soit occupé de lui. Couché ainsi il ressemble au cadavre que la police locale va retrouver le long de la vaste friche industrielle qui borde la cité. Un type tué de deux balles dans la poitrine qui semble bien avoir été enterré, puis déterré pour être jeté à la vue de tous.





Voici le quai de chargement des péniches, le long de la Deûle (et rebouché depuis). Le charbon arrivait en haut par wagonnet et on remplissait les cales des péniches avec les glissières. Cet endroit figurait dans une première version du roman mais il a été enlevé pour ne pas perdre le lecteur dans la friche!









La suite (et la fin de cette visite photographique) en couleur à l'intérieur des installations dépendant de la centrale thermique où l'inspecteur Kabbalevski découvre un indice important.


...et maintenant le plan de Saint-Martin-sur-Deûle avec les lieux de l'action en légende!



Pour poursuivre l'exploration du roman d'Eric Lefebvre et en savoir plus sur les personnages, cliquez ICI.

Après Sortie Lens-Est, Kabbalevski enquête dans Requiem pour un toubib. Pour en savoir plus sur ce second opus de cet enfant du pays, cliquez ICI!

mardi 25 janvier 2011

Il était une fois dans les Furets du Nord...




Le grand James Ellroy en dédicace au Furet du Nord?















Les auteurs de Riffle noir également!(Avec, pour certains d'entre eux, un petit côté exotique en plus d'ajouté à leur nom ou à leur prénom...)

samedi 22 janvier 2011

À minuit, les chiens cessent d'aboyer: un bien bel article!

La revue Détours & des Nuits mensuel de la culture en région (édition du Centre-Val-de-Loire et celle de Poitou-Charentes) présente et critique À minuit, les chiens cessent d'aboyer dans son numéro 153 de janvier/février 2011.



dimanche 16 janvier 2011

Une autre entrée parmi les Grands Détectives!

 
Jacobsen est l'un des personnages récurrents de Dirck Degraeve. Solitaire et taciturne, ce commandant de police enquête dans la tourmente des intrigues de Saulmères (un "double" de Saint-Omer) au coeur des pages de Passé mortel, de Marais noir et, bientôt, dans un troisième polar (à paraître cette année).





En attendant de le découvrir (ou de le redécouvrir) dans ses enquêtes, venez le rencontrer sur le site des Grands Détectives où il a fait son entrée il y a peu: www.grandsdetectives.fr/jacobsen.html


samedi 8 janvier 2011

Une nouvelle chronique pour une nouvelle année!


Chers lectrices, chers lecteurs,


2010 s'est achevé sur une agréable critique d'Éclipse d'une nuit d'hiver de Richard Albisser. Nous ouvrons 2011 avec une critique de Pierre Faverolle sur son blog black-novel : http://black-novel.over-blog.com



Merci à Pierre Faverolle pour son retour de lecture!
Riffle noir


« Une curiosité ! Dup de Book-en-stock m’a fortement conseillé de lire ce roman policier. Son billet ne doit pas vous faire hésiter. Et ce roman donne fortement envie de se plonger dans l’œuvre de Richard Albisser. (...)
Décidément, le Nord regorge d’auteurs de talent, ou du moins les romans que je lis sur le Nord sont de bonnes pioches. Car celui-ci est un très bon roman passionnant à lire. Si on ne peut reprocher une chose à Richard Albisser, c’est bien l’art de mener une intrigue, en prenant plusieurs affaires et en les faisant converger petit à petit. C’est extrêmement plaisant à lire, car, en plus, c’est très bien écrit. Les personnages sont forts, beaux et vivants. Et puis, il y a la fin, une véritable pirouette, un pied de nez à tous les détectives en herbe que nous sommes. Richard Albisser m’aura envoyé une belle, superbe claque.

Au-delà de l’aspect policier du roman, le contexte social est très présent et bien introduit dans l’histoire, sans qu’on ait l’impression que cela soit rajouté pour faire beau. Les policiers sont tous des immigrés ou fils d’immigrés. Cela leur donne une certaine acuité dans leur vision de notre société. Et on a droit à des réflexions, liées aux personnages, qui sont suffisamment bien placées pour que cela fasse corps avec le personnage, sans que l’on ait l’impression que l’auteur nous assène ses vérités. C’est très bien fait et très plaisant, car cela rajoute plus de profondeur aux personnages. Et tout le monde en prend pour son grade, du système policier à la justice, des hôpitaux aux programmes télévisés, au milieu du racisme ambiant, ordinaire, celui qu'on ne remarque même plus. Et tout est écrit avec de l’humour cynique, ce qui aide à faire passer des messages.

Les deux petits bémols tiennent dans le choix de style de l’auteur et dans la police de caractère de l’éditeur. Richard Albisser a conçu son livre sans beaucoup de dialogues, mélangeant ceux-ci avec des impressions, décrivant par ci par là des situations par des phrases longues sans forcément nécessité. Ensuite, la police de lecture, est trop petite ; certes cela permet de faire un format de poche au prix extrêmement abordable (10€), mais comme je lis le soir, ça m’a gêné.

Ces deux petits défauts ne m’empêcheront pas de lire le prochain, ça c’est sûr. Pour finir, un grand merci à Dup pour son conseil, et aux éditions du Riffle noir pour cette découverte. »
Pierre Faverolle, le 29 décembre 2010


L'intégralité de cette chronique est à lire sur black-novel en cliquant ICI



mardi 4 janvier 2011

Avec la nouvelle année, débutent les rencontres !

Chers lectrices et lecteurs,

Avec 2011, voici les dates et les endroits où vous pourrez rencontrer (ou re-rencontrer) les auteurs Riffle noir pour le mois de janvier.

Avant de vous laisser avec notre calendrier, deux bonnes nouvelles pour bien commencer l’année : la parution en cette fin de semaine du livre de chroniques journalistiques Le monde comme il va – chroniques de l’année 2010 d’André Soleau et le titre du prochain Riffle Noir (le 9e de la collection) : Faute de vérité d’Olivier Hennion.


Bonne année littéraire, bon mois de janvier !
Riffle noir


Le samedi 8 janvier 2011
Après-midi dédicaces au Furet du Nord de Lens (62)

pour :
Éric Lefebvre (Requiem pour un toubib)
Michaël Moslonka (À minuit, les chiens cessent d’aboyer)
Richard Albisser (Fou contre tour, Éclipse d’une nuit d’hiver)
 



Le samedi 15 janvier
Journée au Marché aux Livres 8e édition de Liévin (62)


avec :
Éric Lefebvre (Requiem pour un toubib)Michaël Moslonka (À minuit, les chiens cessent d’aboyer)


Richard Albisser (Fou contre tour, Éclipse d’une nuit d’hiver)




Le samedi 22 janvier
Après-midi au Furet du Nord de Valenciennes (59)

pour
Michaël Moslonka (À minuit, les chiens cessent d’aboyer)
Richard Albisser (Fou contre tour, Éclipse d’une nuit d’hiver)


Ce même 22 janvier, du côté de Riffle Blanc

Après-midi à la librairie Privat-Brunet de Douai (59)

pour
André Soleau avec sa nouveauté: Le monde comme il va - Chroniques de l'année 2010

et avec son premier ouvrage : Le carnaval des petites âmes



Le samedi 29 janvier 2011
Après-midi à la librairie Privat-Brunet de Douai (59)

pour Michaël Moslonka (À minuit, les chiens cessent d’aboyer)

et

Après-midi au Furet du Nord de Roubaix (59)
pour Richard Albisser (Fou contre tour & Eclipse d'une nuit d'hiver)