mardi 14 janvier 2014

On l'appelait Mamie - de Pierre Zylawski

À Obrechies, au coeur de l’Avesnois nordiste, Mathilde Baillé, 82 ans, avait appris à lire et à écrire à des générations de petits campagnards. Alors quand on la retrouve baignant dans une mare de sang…

Obrechies, tout petit village de l’Avesnois, situé à environ cinq kilomètres de Maubeuge, existe réellement. Vous en avez d’ailleurs une photo du centre-village, sur la première de couverture. Les poubelles en moins.



C’est là que se déroule principalement l’action de On l’appelait mamie.


 
Parce que, dans cette petite communauté, depuis des générations, tout le monde l’appelait mamie, y compris les élèves de sa classe, à l’école du village.

Parce que c’est bien l’imparfait qu’on emploie pour évoquer ceux qui, dès le chapitre 01, viennent de se faire sauvagement assassiner.


Attachée sur une chaise droite, torturée comme on n’oserait même pas y songer, et finalement achevée sans l’ombre d’un remords, Mathilde Baillé, 82 ans, agonisera longtemps dans une mare de sang.

C’est au groupe Grégoire, du SRPJ de Lille, que l’enquête sera confiée. Le capitaine Léo Grégoire, le lieutenant Maeva Christopher, son adjointe, et deux brigadiers, auront la lourde tâche d’aller au bout de toutes les pistes, tout en composant avec l’émotion bien compréhensible qui s’est emparée de ce village.

Léo Grégoire ne lâchera rien, rien du tout, parce qu’il a d’excellentes raisons personnelles de ne rien lâcher. Toutes les pistes, seront exploitées les unes après les autres : les faits , bien sûr, mais à chaque fois aussi la psychologie des personnages… et cette enquête croisera des gens bien différents, en des lieux très divers…

À chacun de les suivre… et d’essayer de deviner…



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