jeudi 25 octobre 2012

Apophis : Châtiments et Retours de lecture

Les châtiments d'Apophis, ce sont deux auteurs...

... et deux retours de lecture qui viennent de nous parvenir (sur la boîte mail de Maryse Cherruel et en commentaire sur notre blog par une lectrice qui vient régulièrement voir nos auteurs lors de leurs séances de dédicaces)


 


« (...) Une bonne nouvelle : je dois adresser mes félicitations aux "4 mains" qui ont écrit le livre. Je l’ai lu en 5 heures et l’ai vraiment apprécié. L’énigme est bonne et pas courante. Le style (même si surprenant au début) devient vite un très bon vecteur pour rentrer dans l’histoire. Enfin j’ai particulièrement apprécié les vues sur la société qui sont loin d’être tendres mais ô combien réalistes !!! En fait il a les meurtres mais aussi le cheminement intellectuel qui y mène. A un certain moment j’essayais même d’identifier les deux mains qui étaient à l’origine de la phrase.

J’espère que votre livre recevra le succès qu’il mérite (a comparer avec certains succès en librairie, il le vaut amplement). Vivement le prochain !!! »


Guy, par mail, le 12 octobre 2012
  

« (...) J'ai a do ré. Ce chef d'oeuvre, sans guillemets, fait parti des livres qui ne prennent pas la poussière sur une étagère, tant on a envie de le relire histoire d'ajouter des mini post-it pour marquer les passages succulents, qu'on aurait oublié par l'inadvertance d'une étourderie. De le prêter pour le faire connaitre. J'aime pas prêter alors je l'ai offert et il est déjà dans le "chude"... enfin au sud de Paris !!! Parce le neurone qu'on a entre les deux oreilles s'en prend plein la tête, et que les chygo... euh les zygomatiques n'en peuvent plus d'être tendues comme les extenseurs sur le vélo du facteur. En fait c'est le meilleur antirides non testé sur animaux ni sur "vieux"... (je pourrais développer cette mais il faudrait 10 pages. Hormis l'intrigue haletante qui n'en fini pas de nous essouffler tant on a envie de savoir, on reste en apnée car les vérités de notre société décrites avec brio (avec qui ?), avec un brin causticité, donnent un sacré coup de pied à nos fesses ramollies par des fauteuils trop mous... (...) »

Caroline, sur notre blog, le 15 octobre 2012


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