jeudi 29 novembre 2012

La fin d'année de Riffle Noir : rencontres et dédicaces

2012 a été, pour Riffle Noir et ses auteurs, une belle année riche en rencontres. Cela grâce à vous! Mais 2012 n'est pas terminée : décembre sera un mois bien rempli en signatures. Au plaisir de vous voir et en vous souhaitant de bonnes fêtes de fin d'année! 








Samedi 1er décembre
 





Salon du livre de Morbecque

 avec
Patrice Dauthie et Maryse Cherruel
 et
Dirck Degraeve et ses ouvrages Riffle Noir, Riffle Nord et Le Riffle

Auchan Arras - Toute la journée

Richard Albisser, ses ouvrages et toute la gamme du Riffle

Dimanche 2 décembre




pour

Patrice Dauthie et Maryse Cherruel
sera présent également (dans la collection blanche du Riffle)


Le prix littéraire 2012 de la ville de La Bassée

Cultura Villeneuve d'Ascq - Toute la journée
Richard Albisser, ses ouvrages et toute la gamme du Riffle




Mercredi 5 décembre
à partir de 10 heures
 

au Cultura d'Hénin-Beaumont

Michaël Moslonka, ses deux polars et toute la gamme Riffle Noir




Samedi 8 décembre

 

Marché de Noël de BEAUVOIS-en-CAMBRESIS

à la salle des fêtes



pour


Maryse Cherruel et Patrice Dauthie



Marché de Noël de Lannoy
toute la journée

Toute la gamme Riffle Noir sera présente
avec

www.escalesucree.com


à Auchan Faches-Thumesnil
 (toute la journée )

Richard Albisser, ses ouvrages et toute la gamme du Riffle




Dimanche 9 décembre

 



Marché de Noël de Lannoy
toute la journée

Richard Albisser, ses ouvrages et toute la gamme du Riffle
avec

www.escalesucree.com




Samedi 15 décembre 
 


Au Cultura d'Hénin-Beaumont
à partir de 14 heures
Patrice Dauthie et Maryse Cherruel
 
à Leclerc Templeuve
à partir de 10 heures

Michaël Moslonka, ses deux polars et toute la gamme Riffle Noir



à Majuscule Saint-Omer
   
Richard Albisser, ses ouvrages et toute la gamme du Riffle



Dimanche 16 décembre


 

à Cora Lens 2
toute la journée

Michaël Moslonka, ses deux polars et toute la gamme Riffle Noir


 au Cultura de Saint-Quentin
toute la journée



Richard Albisser, ses ouvrages et toute la gamme du Riffle





Mardi 18 décembre

 

à Auchan Faches-Thumesnil


Richard Albisser, ses ouvrages et toute la gamme du Riffle



Mercredi 19 décembre

 

à Auchan Faches-Thumesnil

Michaël Moslonka, ses deux polars et toute la gamme Riffle Noir




Vendredi 21 décembre
à partir de 10 heures

 

au Cultura d'Hénin-Beaumont

Michaël Moslonka, ses deux polars et toute la gamme Riffle Noir








Samedi 22 décembre 
 

Auchan Béthune
Toute la journée

Richard Albisser, ses ouvrages et toute la gamme Riffle Noir



au Cora de Bruay-la-Buissière
Toute la journée

Michaël Moslonka, ses deux polars et toute la gamme Riffle Noir


 
Dimanche 23 décembre




Centre Culturel Leclerc d'Outreau
Toute la journée

Richard Albisser, ses ouvrages et toute la gamme Riffle Noir





Auchan Béthune
Toute la journée


Michaël Moslonka, ses deux polars et toute la gamme Riffle Noir




Samedi 29 décembre

au Cultura de Villeneuve d'Ascq

 toute la journée



Richard Albisser, ses ouvrages et toute la gamme du Riffle






mercredi 28 novembre 2012

Salon du Polar de Templemars 2012 : photos

Le 24 septembre 2012, Richard Albisser, Dirck Degraeve, Michaël Moslonka, Jean-Paul Fosset, Maryse Cherruel et Patrice Dauthie étaient au quatrième salon du polar de Templemars. L'occasion de revoir nos lectrices & lecteurs et d'en rencontrer de nouveaux et de nouvelles!


Place aux photos !







 Richard Albisser en arrière-plan à gauche 
et au premier plan 
les quatre mains des Châtiments d'Apophis:
Patrice Dauthie et Maryse Cherruel


Richard Albisser et Quatre à la suite


Michaël Moslonka et sa casquette tout au fond juste sous sherlock holmes


Michaêl Moslonka (sans sa casquette sur la tête) et un morceau de Dirck Degraeve


Merci à Jean-Pierre Bocquet (écrivain) et à Patricia Gautier (organisatrice du salon) pour ces photos!

jeudi 22 novembre 2012

La parole à Maryse Cherruel et à Patrice Dauthie



Patrice Cherruel et Maryse Cherruel sont les auteurs des Châtiments d'Apophis. Patrice, côté pile, jouant le rôle de l'assassin, Joris Devulder; Maryse, côté face, jouant le rôle de la policière, Emma Telier.


Comment est né ce désir d'écrire à quatre mains?


www.livresque-du-noir.fr


Maryse Cherruel et Patrice Dauthie vous le révèlent grâce à la carte blanche que leur a donnée le site Livresque du Noir.





Maryse : C’est une bonne idée ! Tu as raison, tuer avec du venin de serpent hybride, je crois qu’on n’a jamais vu ça dans un polar ! Il faut en tirer quelque chose. Tu devrais t’y mettre. Après tout, tu aimes ça, l’écriture !

Patrice : Franchement je ne sais pas. Oui, l’idée est originale, je te l’accorde. Imagine ce que pourrait en faire un maître du genre… Mais se lancer aveuglément dans l’écriture alors que tout a déjà été écrit, que la littérature foisonne de talents… Je te l’ai déjà dit, je me sens littéralement submergé par un océan de papier chaque fois que j’entre dans une librairie ou dans la modeste bibliothèque municipale de mon petit village picard. Ajouter un livre inutile à cette surabondance… Non, ce projet n’est pas réaliste. Je suis loin d’avoir ton courage tu sais.

M : Moi j’y vois l’occasion pour toi de montrer ce que tu sais faire. C’est sûr qu’il y a pléthore d’écrivains, mais c’est avant tout un plaisir, je t’assure. C’est valorisant de mener un projet à son terme. Et puis tu aimes ce milieu, tu n’arrêtes pas de me parler de tes découvertes. Et quelque part tu as déjà franchi un pas avec tes petits articles dans la revue de ton association, non ?

P : Oui, c’est sûr, mais je ne me sens pas « écrivain ». Je gribouille tout le temps mais je me qualifierais au mieux d’écriveur, non, même pas puisque Desproges lui-même recourait à ce qualificatif, alors… je dirais plutôt «écrivassier ». Oui, j’aime bien ce mot, écrivassier. Il me rappelle le nom de certains oiseaux de ma baie de Somme, tu sais, comme bécasseau variable, tournepierre ou chevalier guignette. C’est joli, ces bestioles qui piétinent la vase et la fouillent pour débusquer des choses plutôt molles et invertébrées. De toute façon je ne suis jamais satisfait de ce que je produit, je trouve mes phrases molles et invertébrées aussi, parfois.
(...)

La suite ?

Elle est à lire ici >>>> www.livresque-du-noir.fr

lundi 19 novembre 2012

Fou contre tour : Hécatombe sur l'échiquier, critique de lecteur.



Fou contre tour est la première enquête du couple Drassir (le flic) - Jasmina (la femme du flic). Éclipse d'une nuit d'hiver et C21 H22... font suite à celle-ci.

Après l'avoir lu, Ndeprez donne son avis sur Critiques Libres (www.critiqueslibres.com )


« Hécatombe sur l'échiquier.

Premier des trois polar écrits à ce jour par Richard Albisser , "Fou contre tour" nous plante le décor. Le lieutenant Drassir officiant à Hem doit lutter à la fois contre la maladie de son père, la dépression de sa femme mais aussi et surtout contre un tueur qui prend un malin plaisir à le provoquer ou à éliminer ses connaissances... Si en plus ce même lieutenant bien que sevré tabagiquement penche de temps en temps sur la bouteille ainsi que sur l’échiquier (ses deux passions), on se doute que résoudre cette énigme ne sera pas chose aisée... D'ailleurs ce n'est pas lui qui y parviendra , ce qui est d'ailleurs à mes yeux très original.
Un bon petit polar bien sympa qui ne peut qu'entrainer l'achat de la suite "éclipse d'une nuit d'hiver" tant les personnages ont besoin d’évoluer. (critique de ce deuxième opus à suivre...)
Un tout petit bémol cependant : aimant le jeu d’échecs je m'attendais que l’atmosphère du jeu et de ses clubs soit plus présente.
Il en reste toutefois un polar solide comme les auteurs nordistes du Riffle savent les faire. »
le 27 septembre 2012


vendredi 16 novembre 2012

En direct du salon du livre du Touquet

En ce moment, et ce jusque dimanche inclus, au salon du livre du Touquet sur notre stand :


Pour un livre acheté une gourmandise offerte !
et pour plusieurs livre: un petit ballotin !
avec

www.escalesucree.com


jeudi 15 novembre 2012

Riffle Noir au Touquet : des livres et des gourmandises! !


Ces 16, 17 et 18 novembre, Riffle Noir et ses auteurs seront au salon du livre du Touquet.









 
Pour l'occasion, Le Riffle s'associe
avec
L'Escale Sucrée



Pour un livre acheté une gourmandise vous sera offerte !

et pour plusieurs livre, ce sera un petit ballotin !


Avec

Richard Albisser: les 3 jours

Dirck Degraeve, Maryse Cherruel & Patrice Dauthie: le samedi 17

Maryse Cherruel et Patrice Dauthie: le dimanche 18


Régalez-vous ! 



samedi 10 novembre 2012

Les Châtiments d'Apophis : de nouveaux retours de lecture

 
 
Sur notre blog, sur notre page facebook ou encore dans la boîte mail de Patrice Dauthie et de Maryse Cherruel, les lectrices et les lecteurs des Châtiments d'Apophis nous reviennent enthousiastes!









Sur notre blog :

« excellent polar. Le binome des auteurs et le binome des deux personnages principaux fonctionne bien. C'était une gageure de prendre pour argument un tueur en série rationnel et philosophe qui tue vraiment mais ne veut pas vraiment. J'ai particulièrement aimé entrer dans sa vision du monde, retranscrite avec un humour caustique au style précis et ravageur, digne de Cioran. »

Lecteur anonyme, le 10 novembre 2012



Toujours sur notre blog, à la suite d'une rencontre en salon du livre :



« Bonjour, Je vous ai rencontrés ce dernier samedi au salon du livre de La Bassee, ou nous avons discouru tous les trois des diverses avanies de notre "Bas" Monde tout en achetant et me faisant dédicacer votre ouvrage "A quatre mains", ouvrage que je viens d'achever, comme aurait dit la Commissaire TELIER, et que j'ai adoré, sans forfanterie aucune!! Commencé hier matin, terminé ce soir, 355 pages a dévorer sans modération!! Dans cette langue française pourtant si riche, j'éprouve certaine difficulté à distinguer un superlatif par rapport a un autre :le style remarquable, la variété des mots, le vocabulaire "échevelé", le coeur de l'intrigue, les contours sociétaux, économiques, humains, politiques, sociaux, tout est si bien dessiné, si bien perçu que je ne saurais trop le recommander a mes pires ennemis, (…) Un grand Bravo encore, et tentez de poursuivre dans cette voie en vue d'un tel plaisir de lecture!! Cordialement. »

Jean-Michel, le 23 octobre 2012

Sur facebook :


« J'ai reçu les châtiments d'Apophis hier..... je l'ai commencé hier soir une petite heure avant de dormir........ et dévoré ce matin ..... Ce livre était passionnant. Quand on plonge dedans, difficile d'en sortir. (…)j'ai aimé jusqu'à la fin. Félicitations. passionnante histoire , personnages forts en caractère...... trame prenante même si on connait l'assassin enfin un chef d'oeuvre quoi »

Maya Leprevost, le 31 octobre 2012



Dans la boîte mail de nos auteurs :

« Merci beaucoup pour ce roman que j’ai beaucoup apprécié même s’il s’agit d’un roman policier (…). J’avoue que la différence de style d’écriture m’a légèrement décontenancé au début mais au fil de la lecture et en fin de compte on s’aperçoit que ça fonctionne à merveille, une alchimie plutôt réussie comme on dit. En plus, tout y passe, les politicards véreux, la religion, le système capitaliste et ses nombreuses contradictions et la bêtise qu’elle engendre, ce qui n'est pas pour me déplaire... A quand le prochain ? Encore merci et bravo ! »

Farid, le 23 octobre 2012



Merci à vous de nous faire partager ainsi votre lecture de nos livres !


mardi 6 novembre 2012

Entrevue avec le côté face d'Apophis

Ce lundi 5 novembre 2012, l'édition de Lambersart (59) de la Voix du Nord donnait la parole à Maryse Cherruel et Patrice Dauthie pour leur polar écrit à quatre mains

Patrice Dauthie étant loin de Lambersart, perdu dans sa baie préférée, le coup de projecteur a été mis sur le côté face des Châtiments d'Apophis.






La Voix du Nord, édition de Lambersart - le 5 novembre 2012










Tout sur Les Châtiments d'Apophis, >>>> ICI


lundi 5 novembre 2012

Le Riffle au salon du livre de La Bassée




Le salon du livre 2012 de la ville de La Bassée 2012 fut un bien bel événement pour les éditions du Riffle, ceci pour 3 raisons !








Première raison : Dirck Degraeve


Notre auteur de polar fut le Parrain de ce salon suite au prix littéraire remportée l'année dernière pour son roman La Fileuse d'Ombre (coll. Le Riffle).

Voici le discours qu'il a tenu :


Monsieur le Maire, Madame l'Adjointe à la Culture, Madame la responsable de la Bibliothèque pour Tous, Mesdames et Messieurs les bénévoles ayant œuvré avec dévouement pour l'organisation de cette réunion,

La ville de La Bassée tient en ce jour son quatrième salon littéraire autour du roman dans tous ses états. Après mes prédécesseurs lauréats du Prix en 2009 et 2010 (Gilles Warembourg et Didier Hermand), c'est à moi, lauréat du Prix 2011, qu'échoit le redoutable honneur du discours préludant à la remise du Prix 2012.

Je me souviens qu'en cette circonstance Gilles et Didier nous avaient parlé avec subtilité et humour du livre et des auteurs, de cette occupation étonnante, incongrue et peut-être bientôt surannée, qui consiste à s'asseoir derrière un bureau pour laisser vagabonder son imagination, bâtir à grand renfort de mots des histoires, des contes, des récits ou revisiter la grande, la véritable Histoire (avec un grand H cette fois-ci) de notre région.

Sans prétendre au moindre prosélytisme et en toute modestie, me voici sommé d'apporter ma propre réponse à cette épineuse question : pourquoi écrire ? Pourquoi écrire des romans à l'époque où l'image a envahi, en se multipliant à l'infini, la quasi-totalité de l'espace culturel et médiatique ? Séchant lamentablement sur ma copie, je me suis fié comme tout cancre qui se respecte au hasard et, en l'occurrence, il m'a pour une fois favorisé. Venant de Saint-Omer, de l'Artois vert des maraîchers, j'aborde à La Bassée le pays de Weppes, ses zones verdoyantes et humides parcourues de cours d'eau. Il ressemble parfois comme deux gouttes d'eau à cet Audomarois qui a été jusqu'à maintenant mon unique source d'inspiration. Mais en arrivant à La Bassée, pointant la direction d'un autre Artois, celui des mines désormais fermées, un panneau a attiré mon attention, celui qui indique la salle Germinal et le nom illustre de Zola a aussitôt surgi avec la cohorte impressionnante des 20 tomes des Rougon-Macquart, le bruit et la fureur de l'affaire Dreyfus dans laquelle il a joué un rôle éminent. Les plaines vouées à l'agriculture, les rideaux d'arbres zébrant le paysage de l'autre côté ont suscité dans un étonnant contraste le nom d'une autre figure célèbre qui a aussi chanté notre région, celle de Georges Bernanos, le grand écrivain catholique et maurassien qui a osé s'insurger contre les massacres aveugles de la Guerre d'Espagne. Il n'est pas question ici, bien sûr, de nous comparer à ces géants, mais curieusement leur œuvre se retrouve, se reflète peu ou prou dans la plupart des romans sélectionnés par les lecteurs de la Bibliothèque pour Tous avant qu'un vote démocratique n'ait déterminé l'heureux lauréat du Prix.

Dans Kazu content, Monique Vermeulin évoque avec émotion et sensibilité la vie quotidienne d'une famille polonaise émigrée en France, poussée par la misère, attirée chez nous par l'espoir d'une vie meilleure au prix cependant du labeur inhumain de la mine. Les scènes de la vie quotidienne défilent, la lessive, l'école primaire, la maladie inexorable du père, les aventures de Kazu dont la déficience mentale, sous la plume de Mme Vermeulin, se transforme en grâce et projette un regard neuf sur la vie. On pense bien sûr à Germinal, à la famille des Maheu, aux corons, à cette attention empreinte de sympathie que Zola avait déjà portée aux humbles, à leurs joies et à leurs peines, à leur lutte pour un avenir plus juste.

Didier Hermand dans Une seconde chance et Bruno Descamps dans Les mots de nos rêves nous tournent, eux, vers les souffrances du corps et de l'esprit engendrées par les maladies, les handicaps, les affres de la mort, les questions que l'on se pose avant la dernière étape quand la nuit envahit lentement ce qui reste encore du jour. Des sujets difficiles, traités avec pudeur, discrétion, émotion. Bernanos a osé affirmer, allant ainsi à l'encontre des idées reçues et des peurs communes, que la souffrance des hommes est la grande merveille du monde. Pour le chrétien fervent qu'il a toujours été, c'était là une évidence, celle du Christ sur la croix, de la communion des saints. Même pour tous ceux que n'engage aucune foi religieuse, il y a là matière à réflexion. Seul l'homme a conscience de sa souffrance, de l'inéluctabilité de sa fin, cette souffrance qui a accompagné Noëlla tout au long de sa vie semée d'épreuves dans Une seconde chance, cette souffrance qui ronge Paul dans Les mots de nos rêves avant qu'il ne connaisse la paix et une certaine sérénité grâce à l'ultime rencontre avec une jeune femme qui le sollicite pour mettre en forme, raconter sa vie avant qu'elle ne s'efface.

Max Mercier, dans La route des frères Patison, a choisi d'autres problématiques, un autre décor dans ce road-movie qui nous entraîne au cœur des Etats-Unis. Il renoue ainsi avec le cinéma américain et ses grands espaces, avec les westernsde notre enfance, avec l'aventure dans un décor à couper le souffle. Mais tout voyage est une découverte, tout voyage nous engage et nous confronte avec nous-mêmes, au plus profond de nous-mêmes. Quand on écrit, on n'échappe pas à l'homme, à l'humain, où que nous porte notre plume.

Dire le bonheur et le malheur, la joie et la peine, la souffrance et la lutte, le déracinement et l'ivresse de l'espace, faire rire et faire pleurer, voilà donc notre tâche, quels que soient notre ambition, notre talent.

Avec les mots de tous les jours, les "mots de la tribu", nous dépassons ce qui nous oppose, l'indifférence, l'intolérance, la haine. La littérature c'est bien ce qui réunit, associe et fusionne.

Et c'est pour la célébrer que nous sommes ici aujourd'hui. 

Merci.

Seconde raison:
Bruno Descamps et ses Mots de nos rêves





Après Chroniques Posthumes de Gilles Warembourg en 2009, La Fileuse d'Ombre de Dirck Degraeve en 2011, Bruno Descamps est le 3eme auteur des éditions du Riffle à remporter le prix littéraire de la ville de La Bassée ! 

Ce dernier récompense son roman

collection Le Riffle

Troisième raison : Les Châtiments d'Apophis


Patrice Dauthie et Maryse Cherruel y présentaient et dédicaçaient leur roman policier, les Châtiments d'Apophis, et le verdict ne s'est pas fait attendre avec le commentaire de Jean-Michel reçu dans leur boîte mail, le 23 octobre 2012 soit 3 jours après le salon du livre.

« Bonjour, Je vous ai rencontré ce dernier samedi au salon du livre de La Bassée, ou nous avons discouru tous les trois des diverses avanies de notre "Bas" Monde tout en achetant et me faisanr dédicacer votre ouvrage "A quatre mains", ouvrage que je viens d'achever, comme aurait dire la Commissaire TELIER,et que j'ai adoré, sans forfanterie aucune!! Commencé hier matin, terminé ce soir,355 pages a dévorer sans modération!! Dans cette langue française pourtant si riche, j'éprouve certaine difficulté a distinguer un superlatif par rapport a un autre: le style remarquable, la variété des mots, le vocabulaire "échevelé",le coeur de l'intrigue, les contours sociétaux, économiques, humains, politiques, sociaux, tout est si bien dessiné, si bien perçu (…) Un grand Bravo encore, et tentez de poursuivre dans cette voie en vue d'un tel plaisir de lecture!! »
Jean-Michel,
le 23 octobre 2012


Vivement nos prochains salons !