mardi 29 novembre 2011

Coup de coeur à entendre: quand Éric Darsan parle de La Mort au détail

Le 14 novembre dernier, Éric Darsan avait chroniqué La Mort au détail sur son blog ericdarsan.blogspot.com

Après une entrevue de son auteur, Éric Darsan parle à nouveau du 3eme polar de Dirck Degraeve. 

Ce sympathique coup de cœur se passe lors de l'émission La Vie des Livres (Radio Plus 104.3 Mhz - Douvrin http://www.radioplus.fr/) 







lundi 28 novembre 2011

Rendez-vous de fin d'année


 Les signatures des auteurs Riffle Noir continuent en décembre


Décembre sera aussi

le mois de Michaël Moslonka sur le blog


Venez chaque jour du mois sur le blog poser des questions à l'auteur d'À minuit les chiens cessent d'aboyer

ça se passera sur bookenstock.blogspot.com dès le 1er décembre 



 Spécial Marché de Noël

Richard Albisser 
sera
au marché de Noël de Tournai (Belgique)

le dimanche 4
le mercredi 7 et le jeudi 8
le mardi 13 et mercredi 14
le mardi 20 
le jeudi 22 et le vendredi 23


au marché de Noël de Lannoy

le samedi 10 et le dimanche 11

il y présentera l'ensemble des polars de la collection


 le samedi 3 décembre

Après-midi signatures

au Centre Culturel Leclerc de Seclin

pour Michaël Moslonka 
avec toute la gamme Riffle Noir!




au Furet du Nord de Roubaix
pour Richard Albisser 

(accompagné de Gilles Warembourg pour Chroniques Posthumes 2 - coll. Riffle Nord)

 le samedi 10 décembre

Après-midi signatures

à Cora Lens 2 - Vendin-le-vieil

pour Éric Lefebvre avec Requiem pour un toubib
et Michaël Moslonka avec À minuit, les chiens cessent d'aboyer
 


au Furet du Nord de Coquelles 


pour Dirck Degraeve

avec Passé mortel, Marais noir
et La Mort au détail

le samedi 17 décembre


Signature au Majuscule

de Saulmères Saint-Omer

pour Dirck Degraeve

de 10 heures à 13 heures

avec Passé mortel, Marais noir
et La Mort au détail
 
Signatures
au
centre culturel Leclerc de Outreau

L'après-midi

pour
Richard Albisser

 (accompagné de Pierre Zylawski pour Herbe et de Paille - coll. Le Riffle)

le dimanche 18 décembre

Signatures
au
centre culturel Leclerc de Outreau

L'après-midi

pour

Dirck Degreave et Richard Albisser

 

 
Toute l'équipe des éditions du Riffle, les auteurs et l'ensemble des polars Riffle Noir vous adressent leurs meilleurs vœux pour 2012 et vous remercient d'avoir passé, en leur compagnie, celle de 2011!  


vendredi 18 novembre 2011

Richard Albisser: invité d'honneur de Marquillies

pour
Fou contre tour, Éclipse d'une nuit d'hiver et Quatre à la suite

(il sera accompagné des autres titres des éditions du Riffle)


Merci à la librairie La Ruche aux Livres pour cet honneur!

jeudi 17 novembre 2011

Entrevue de Dirck Degraeve par Eric Darsan



Suite à sa chronique de "La Mort au détail" sur www.Libfly.com et sur son blog, Dirck Degraeve s'est prêté aux questions de son chroniqueur, Éric Darsan


Avant de rentrer dans le vif du sujet, la parole est à l'intervieweur:




« Le compte-rendu de mes rencontres avec Pierre de Vilno et Jean d’Ormesson ayant en partie encouragé certains à faire de même en dehors des opérations, Lucie de Libfly me confiait tout récemment combien l’idée était intéressante et montrait « la vitalité de la vie littéraire et l’humanité des auteurs. »
Dans cet esprit j’ai désiré prolonger ma chronique de La Mort au détail de Dirck Degraeve via une interview par mail, la première sur ce blog, à laquelle l'auteur m'a fait l'honneur de bien vouloir se prêter, et que je retranscris ici avec son aimable autorisation et celle
de Riffle Noir. Je tiens à les remercier, ainsi que Libfly, de cette opportunité de poursuivre un dialogue riche avec un auteur passionné autant que passionnant.
»

L'entrevue est à lire ici:

mercredi 16 novembre 2011

Nouvelle chronique de La Mort au détail

Chronique de La Mort au détail par Éric Darsan sur son blog ericdarsan.blogspot.com relayée par  Libfly, la bibliothèque en ligne.
« C’est Noël avant l’heure grâce à Libfly, à Riffle Noir et à Dirck Degraeve dont j’ai reçu le dernier roman policier il y a moins d'une semaine, et que je tiens à remercier.

L’histoire se déroule à la veille des fêtes dans la petite ville de Saulmères, à deux pas de la frontière belge, où un meurtrier a décidé de plomber l’ambiance déjà mortelle en assassinant Papy Malou, artisan à la retraite, à l'arme de guerre. L'affaire conduit le commandant Jacobsen et son lieutenant Maresquier à l’association Caritas au sein de laquelle Malou aidait bénévolement les clandestins.
Après Passé Mortel et Marais Noir, La Mort au détail est le troisième roman mettant en scène Sven Jacobsen et sa compagne Corinne Maresquier. Hantés par leurs passés respectifs, tentés chacun à leur manière par la dérive, ils vont ici évoluer parallèlement pour tenter de s'y retrouver sentimentalement comme professionnellement, au point de se demander avec eux, vers la moitié du livre, dans quel pétrin l'on s'est mis. 

(...) si par ses thèmes et leurs prolongements on est réellement dans le polar contemporain, le style permet à la structure de faire quelques embardées du côté de la littérature blanche. Ainsi les changements de points de vue, qui nous font passer de Corinne à Jacobsen, ou encore ces focalisations internes inscrites en italique dont l'auteur, indéterminé, varie chaque fois, et qui ne sont pas sans rappeler Les Gommes de Robbe-Grillet. Sans parler de la délectation avec laquelle l’auteur passe au gré des personnages du registre soutenu (« torve », « bistre ») à une sorte de dialecte familier, bigarré, fleuri et pour tout dire improbable, qui emprunte tant au flamand qu’au vocabulaire des quartiers (« kotje », « binz », « histoire de oufs »).

Mais le plus frappant demeure l'univers de Saulmères, ville imaginaire dans laquelle se déroulent toutes les histoires de Dirck Degraeve. Où les Restos du cœur, le Secours catholique, le PMU et le Rotary se cotoient et font face à la "jungle", « sorte de microsome où tous les problèmes du monde actuel se concentrent », qui vient compléter le tableau en forcissant le trait, all man's land où réfugiés des conflits d’Afrique et d’Europe de l’est se regroupent par ethnies, entre les centres de rétentions et le mépris. Un univers parallèle où les références transposées (« la mort était son métier il n’y pouvait rien », l’opération « nuit et brouillard ») contribuent à nous plonger dans l’horreur quotidienne d’une société gangrenée à l'atmosphère délétère, pourrie par le profit et la peur, coincée entre la chienlit et le Kärcher.

Avec La Mort au détail Dirck Degraeve nous offre en cette fin d’année un roman surprenant, captivant et bien mené, où l’humour, l’amour et la musique permettent à quelques hommes de bonne volonté de croire encore un tant soit peu au Père Noël. »
Éric Darsan
le 14 novembre 2011

L'intégralité de la chronique est à lire >>>> ICI
ou >>>> ICI

dimanche 13 novembre 2011

Faute de vérité: échos du Pas-de-Calais

Sur le Pas-de-Calais en ligne, des échos du polar d'Olivier Hennion nous parviennent de quelques mois en arrière...



« Une planque qui finit mal, des coups de feu, le coéquipier tué et Charles Klapa à l’hôpital ! La convalescence se fait à Quesnoy-sur-Deule, alors que ressurgit le souvenir de l’affaire Girard, traumatisante pour le gamin que Klapa était à l’époque. Entre passé et présent, on grimace en même temps que notre héros fatigué quand les cicatrices font mal. Et pousse la porte du magasin de jouets désaffecté pour retrouver celui qui, à l’époque, avait acheté ce fichu camion de pompier miniature ! C’est bien fait et l’histoire tient en haleine ! »

 L'écho du Pas-de-Calais n°116 - avril/mai 2011
 www.echo62.com


Nous en profitons pour vous rapporter ici, le retour de lecture de l'un des gagnants de notre concours anniversaire 2011 qui avait choisi Faute de vérité:

« (...) J'ai terminé la lecture de ce livre hier, et je dois dire qu'il m'a bien plu. J'ai pensé à plusieurs reprise connaitre le nom du coupable, mais à chaque fois, dans l'eau. Ce doit être là l'un des grands talents d'Olivier Hennion : savoir, entre les lignes, nous faire croire que..., faire naître ce sentiment qui finit par s'évaporer pour laisser la place à de nouvelles interrogations.
De plus, le livre sent le vécu, tant au niveau de l'enquête, qu'au niveau des personnages qui y sont dépeint avec force, caractère. Je suis ravi d'avoir "fait connaissance" avec cet écrivain. A-t-il un passé de flic? Connaitrait-il à ce point les hopitaux, les offices de notaires... On pourrait le croire, tant tout cela est bien décrit, analysé.
Enfin, une preuve de plus que le Npdc regorge de talents. (...) »
Christophe Drzemala - le 7 octobre 2011

mardi 8 novembre 2011

Dirck et sa fileuse d'ombre

Un bien bel article dans Lille Métropole, nous donne l'occasion de vous reparler de La fileuse d'ombre. (roman - coll. Le Riffle)

Le point commun avec Riffle Noir? Il y en a deux:

Tout d'abord le coupable: Dirck Degraeve. Il est l'auteur de  trois polar: Passé mortel, Marais noir et le dernier en date La Mort au détail.

Seconde raison: Saulmères, ville fictive mais personnage principal de l'univers degraevien de Dirck. Toutes ses histoires, en littérature noire, comme en littérature blanche ou nord) (Farandole - coll. Riffle Nord) s'y déroulent.



Article Lille Métropole - octobre 2011
(cliquez sur celui-ci pour le lire)


 Les dates pour rencontrer Dirck Degraeve sont >>>> ICI

vendredi 4 novembre 2011

Signatures de Novembre


 Les rencontres des auteurs du Riffle pour le mois de Novembre



 le samedi 5 novembre

Après-midi au Centre Culturel Leclerc de Seclin

pour Richard Albisser et Quatre à la suite !

et Michaël Moslonka 
avec toute la gamme Riffle Noir!

 le samedi 12 novembre

Après-midi au Cultura de Villeneuve d’Ascq

pour Richard Albisser et Quatre à la suite !

et toute la gamme Riffle Noir!

du 10 au 13 novembre

Salon du livre du Touquet


avec
Dirck Degreave (le vendredi et le samedi)
  
pour Passé mortel, Marais noir
et... La Mort au détail (nouveauté Riffle Noir)

Richard Albisser (le jeudi, vendredi et dimanche)

et Michaël Moslonka (le samedi)

 

le samedi 19 novembre

1er Salon du polar de Morbecque


avec
Dirck Degreave
  
pour Passé mortel, Marais noir
et... La Mort au détail (nouveauté Riffle Noir)


et Richard Albisser



 le dimanche 20 novembre

Salon du livre de Marquillies

pour Richard Albisser 

qui sera 

l'invité d'honneur


de ce salon



 le mercredi 23 novembre

Après-midi au Cultura d'Hénin-Beaumont

 pour
Richard Alisser et Quatre à la suite !


et toute la gamme Riffle Noir!

 le samedi 26 novembre


Journée littéraire au salon du Livre de Loos 

 pour

Richard Alisser et Quatre à la suite !
Olivier Hennion Faute de Vérité
 

et une Après-midi au Cultura d'Hénin-Beaumont

pour Michaël Moslonka
avec À minuit, les chiens cessent d'aboyer

et toute la gamme Riffle Noir !


 le dimanche 27 novembre


Journée littéraire

journée au Salon du livre de Lumbres


pour
Dirck Degreave
  
avec Passé mortel, Marais noir
La Mort au détail (nouveauté Riffle Noir) et La fileuse d'ombre (coll. Le Riffle)

mercredi 2 novembre 2011

Dernier extrait à la suite...

Jacques Marmotet: détective privé. Hélène Lagache: juge d'instruction. Émile Fouquereuil: commissaire de police. Pierre-Louis Sanylski: directeur de prison. Quatre joueurs, quatre points cardinaux pour quatre histoires criminelles dans Quatre à la suite.

 



Ce nouveau livre de Richard Albisser, publié dans la collection Riffle Nord, est né d'ateliers d'écriture réalisés dans le cadre d' "écrire à Béthune 2011". Sa thématique policière nous fait vous en révéler des extraits sur le blog Riffle Noir.

 


Extrait 4: Affaire racontée en partie par Émile

UN TRÈFLE
MORT À L'EST
CARTE DÉCISIVE: LE ROI DE TRÈFLE

Prologue

    Le 14 mai de l’an de grâce 1643, Louis XIII dit le Juste, bien qu’il eût voulu qu’on l’appelât aussi le Chaste, s'éteignait dans son palais du Louvre. Il avait 42 ans. Ironie de l’Histoire : son père, Henri IV, disparaissait lui aussi un 14 mai, trente-trois ans plus tôt. Pendant exactement vingt-huit années, le roi avait nourri une méfiance extrême à l’égard de son épouse. Anne d’Autriche était toujours restée à ses yeux une descendante des Habsbourg dont la rivalité épuisait la France depuis plus d’un siècle… À telle enseigne que le testament limitait drastiquement les pouvoirs de la Régente et ouvrait des facilités déconcertantes aux ambitions du Parlement, de Condé et du prince de Conti.
    Le matin du 20 mai, à 10 h, la reine convoquait D’Artagnan, le capitaine des Mousquetaires.
    – Monsieur D’Artagnan, lui dit-elle, vous aurez à veiller sur le jeune roi. Des menaces de Fronde m’ont été rapportées…
    – Sa Majesté, répondit le Gascon, peut compter sur mon dévouement absolu et sur ma fidélité indéfectible.
    – Nous savons tout cela, Monsieur. Vous l’avez déjà prouvé en déjouant en son temps cet affreux complot. Elle faisait bien sûr allusion à Richelieu qui avait intrigué contre elle dix-huit ans plus tôt. Nous aurons d’ailleurs en Monsieur de Mazarin un allié plus sûr. Voici, je tenais à vous les remettre en remerciements… À ce moment précis, la Reine ouvrit un petit coffret de bois rose à son chiffre posé sur un coussin de velours pourpre dans lequel brillaient de tous leurs feux les ferrets qui avaient été un élément de la conspiration conduite contre elle puis elle le referma avec un soin tout particulier… Cette apparition raviva chez l’homme de guerre le souvenir de Constance Bonacieux, son amour de jeunesse. Empoisonnée par Milady de Winter au carmel de Béthune, elle y était désormais inhumée.
    – Je ne saurais accepter un tel présent, s’excusa notre héros.
    – Vous m’offenseriez !
   – Dans ce cas… D’un pas mesuré et cérémonieux, le militaire s’approcha du bureau de la reine et se saisit avec le plus grand respect de l’écrin qu’il tenait maintenant à la façon d’un prêtre qui manipule l’ostensoir.
    – Maintenant, je vous prie de m’excuser. Les affaires du Royaume ne peuvent attendre...
   D’Artagnan fit sa plus belle révérence et quitta les appartements de la Régente. Il marchait dans les couloirs du Louvre, souvent déserts à cette heure-là, quand un éclat de voix et un bruit de chaises le retinrent derrière une porte. Elle donnait sur l’un de ces petits salons où l’on jouait au piquet . La nature profonde du gendarme fit oublier quelques instants le trésor dont il était porteur si bien qu’il se cacha derrière un de ces immenses rideaux qui étaient le paravent d’un grand nombre de conspirateurs. Les tentures étaient suffisamment épaisses pour ne pas être vu et comportaient assez de pans pour laisser à la jonction de deux d’entre eux la possibilité d’un poste d’observation. Deux hommes en sortirent. Au vu de leur physionomie, ils avaient tous deux moins de trente ans. D’Artagnan reconnut aussitôt le jeune vicomte de Vaux en compagnie de celui dont la rumeur courait qu’il était le protégé du Ministre de la Guerre. Se pensant seuls, ils poursuivirent leur discussion.
   – Monsieur Fouquet, fit ce dernier, me voilà, maintenant et pour très longtemps, votre obligé.
    – Le jeu est le jeu, monsieur Colbert. Le vicomte avait en main à ce moment précis une carte et il la tenait à la fois comme un bien précieux et comme un signe de victoire.
    D’Artagnan comprit qu’il s’agissait d’une de ces reconnaissances de dette dont les montants étaient parfois astronomiques tant ces jeunes gens, enivrés par les enchères, misaient à en perdre la tête. Il eut le sentiment soudain que ce duo-là ne serait pas en reste mais il n’avait qu’une hâte, c’était qu’ils déguerpissent pour que lui-même pût sortir de son poste de guet où il faisait une chaleur épouvantable.
    Peu de temps après, il regagnait sa caserne. Chemin faisant, il songeait à la reine et avait complètement oublié la scène entre les deux jeunes gens. Que pouvait-il faire de ces diamants ? Les vendre ? C’était inconcevable. Les conserver ? Il serait par monts et par vaux à guerroyer pour le compte de Mazarin ou à assurer la protection du jeune roi. Les remettre à quelqu’un de confiance ? C’était tout de même délicat. Les mettre en lieu sûr ? Cette décision lui paraissait la plus sage. Mais à quel endroit ? Le visage de Constance illumina à cet instant les aires inquiètes de son cerveau qui revisitait l’effroyable souvenir de sa mort…
    – Constance ! Constance, s’écria D’Artagnan.
   Un soupir s’échappa de la bouche de Mme Bonacieux, effleurant celle de D’Artagnan ; ce soupir, c’était une âme si chaste et si aimante qu’elle remontait au ciel.
    D’Artagnan ne serrait plus qu’un cadavre entre ses bras.
    Le jeune homme poussa un cri et tomba près de sa maîtresse, aussi pâle et aussi glacé qu’elle.

[…]
   – Madame, dit Athos […], nous abandonnons à vos soins pieux le corps de cette malheureuse femme. […] Traitez-la comme une de vos sœurs ; nous reviendrons un jour prier sur sa tombe.

   Sa décision était maintenant prise : les ferrets rejoindraient la défunte. Lorsqu’au siège de Maastricht, D’Artagnan reçut un coup mortel, les dernières pensées du mousquetaire, qui deviendrait grâce à Alexandre Dumas un des héros les plus connus de l’Histoire de France, allèrent vers la jeune fille de Béthune, enterrée en un lieu désormais inconnu, détentrice d’un secret que le bretteur emmenait également avec lui dans la tombe…
Fin des quatre extraits à la suite.



MORT AU NORD - LA DAME DE CŒUR (Extrait 3)

à lire >>>> ICI

 

MORT AU SUD - LE VALET DE CARREAU (extrait 2)

à lire >>>> ICI

 

MORT À L'OUEST - L'AS DE PIQUE(extrait 1)

à lire >>>> ICI